La turquoise offre une variété de couleurs allant de bleu clair à bleu foncé, veinée de noir. On trouve des gisements de turquoise dans de nombreux pays: Tibet, Chine, Iran, Afghanistan, Mexique, Etats-Unis (Arizona), Chili, Australie, Israël, Tanzanie. Très présente dans les bijoux bouddhistes, népalais, ou tibétains, elle symbolise la richesse matérielle et spirituelle. Le bleu turquoise dans le bouddhisme représente la vie des humains dans leur dualité vie/mort et la sagesse terre/ciel.
Propriétés de la turquoise en lithothérapie
En lithothérapie, la turquoise est un emblème de courage. Cette pierre semi-précieuse est aussi considérée comme étant une source de bien-être. C’est également un symbole de sagesse. Elle suscite la noblesse des sentiments, l’indulgence et la générosité.
Anecdote
L’étymologie du nom “turquoise ” viendrait de pierre turque, car c’est en Turquie que les européens la trouvèrent (et ce bien que le minéral ait été importé d’Iran). C’est elle qui donna son nom à la couleur bleu turquoise.
Pierres et chakras
La turquoise peut être utilisé sur le chakra du cou et de la gorge.
Entretien de la turquoise
La turquoise a une dureté de 5 à 6 sur 10, 10 étant la pierre la plus dure, le diamant. Sa structure friable la rend délicate à travailler en bijouterie et sensible aux chocs. C’est une pierre naturelle poreuse, elle est sensible aux parfums, à la transpiration (bijoux au contact de la peau), aux produits ménagers, tout cela pouvant altérer sa couleur.
Pour entretenir vos pierres de turquoise il suffit de les laver à l’eau claire. Les nettoyages aux ultrasons professionnels des bijouteries sont déconseillés pour cette pierre semi-précieuse.
Bijoux en turquoise & commerce équitable
Omyoki propose des bijoux en turquoise, designés en France puis fait-main par des artisans de talent en Inde, au Népal et dans des communautés Tibétaines. Des créations originales, en éditions limitées, et parfois en pièce unique. Cette vidéo met en image, cette histoire de savoir-faire et d’artisans.
Chaque atelier a été visité, pour vérifier les conditions de travail, la qualité de vie et la rémunération juste des artisans. Une relation personnelle a été établie avec chaque artisan, autour d’innombrables thés et en passant des heures à discuter, comme il se doit dans les pays d’Asie.